Pour la petite histoire

L’origine du Wallpaper en Europe remonte au XVIe siècle : on produit à cette époque des papiers dominotés, rectangles de papier imprimé à partir de motifs géométriques ou floraux gravés et encrés sur une planche. Les dominos sont ensuite coloriés au pinceau ou  au pochoir. Ils ornent les coffres, livres, mais aussi progressivement les murs, créant ainsi des décors uniques et sur mesure.
 
 
Dès le début du XVIIIe siècle en Angleterre, on commence à coller les feuilles les unes à la suite des autres pour former un rouleau, avant de les imprimer. C’est la naissance du papier peint tel que nous le connaissons, l’Angleterre et la France en tête. Son usage se généralise et sa fabrication se mécanise à l’aide de machines à imprimer ; apparaît alors le conditionnement en rouleaux. Grâce à des procédés d’une grande technicité qui se développent au XIXe siècle, le Wallpaper passe maître dans l’art du trompe-l’œil. Sa production explose entre la fin du XIXe  et du XXe. Il gagne en popularité, soutenu par l’urbanisation. De l’art naturaliste fleuri à l’Art nouveau et l’Art déco, en passant par le Pop art, les motifs et couleurs des papiers peints racontent leur époque.
 
 
Plus récemment, une nouvelle vague de designers, architectes et couturiers revisite les modèles de papier peint, source d’inspiration pour la mode et le luxe. Après une période où il était tombé en désuétude, il revient très fort depuis une dizaine d’années et s’impose comme l’un des éléments incontournables de la décoration intérieure.
 
 

L’événement

Vous les attendiez ? Deux nouveaux modèles de papier peint débarquent en force ! Comme l’ensemble de la gamme, ils sont imprimés au bloc de bois (block print) sur des feuilles de riz végétales selon la technique du batik. La nouveauté, c’est le fond coloré de cette version bicolore, plus nuancée.

 

 

Le premier (Weave) évoque l’effet du tressage de papier ; son coloris brun chaud lui donne un petit côté seventies ou encore rappelle le bois dans un esprit cabane. N’hésitez pas à le poser du plafond au bas des murs !

 

 

D’inspiration British, le second (Bloom) porte bien son nom : floral, il est composé de fleurs ordonnées comme dans un herbier. Les feuilles, qui évoquent des ailes de papillon, apportent une certaine légèreté à l’ensemble, renforcée par le ton bleuté à la douceur délicieuse. 

 

Ceux qui savent savent

L’autre particularité de notre papier peint ? Il est ultra simple à poser ! Finis les rouleaux interminables, les raccords ratés, l’équerre et le fil à plomb ! Les feuilles irrégulières se posent les unes à la suite des autres pour créer une composition vivante, qui sublime la matière. Les irrégularités prennent vie et s’harmonisent sans chichi. Même les maniaques se laissent surprendre !

Vous avez dit superfrise ?

Surprise, la gamme s’enrichit de frises ! Ces bandes ornaient autrefois les papiers peints d’une bordure ou d’un soubassement, telle une finition, un cadre, un détail très travaillé. Comme un écho à cet ornement, Le Monde Sauvage revisite la frise à sa façon, décalée.

Prenez les décors de la maison Charleston Farmhouse du groupe Bloomsbury, mixez-les avec l’univers graphique de nos batik, vous obtenez quatre superfrises imprimées sur des feuilles de riz végétales et pensées pour matcher avec nos papiers peints.


La texture à la cire reste la même que celle des papiers peints ; la différence vient des motifs qui sont sérigraphiés et mélangent deux couleurs imprimées sur un fond naturel. Ils dessinent tantôt des pois bronze, des losanges couleur terre de Sienne ou des rayures vert foncé ; un nouveau motif floral indigo, d’inspiration japonaise, complète l’ensemble.

So quirkly !

Le studio de création LMS n’avait qu’une idée en tête lors de la conception des frises : s’affranchir de leur usage conventionnel. Les détourner et les réinventer pour créer un décor ludique et personnalisé, unique. Posées en vertical, en motifs chevron ou cannage, leur modularité est une invitation à la créativité.

PLUS D’INFOS

-Papier peint : la boîte compte 12 feuilles de 50x70 cm chacune. L’ensemble couvre environ 4 m2.

-Superfrise : la boîte compte 9 bandes de 70 cm, soit plus de 6 m de long
au total.

-Tous nos modèles sont coordonnés
à notre gamme de peinture.

LE GRAND DÉTOURNEMENT

Quatre frises, de multiples possibilités :

-En rayures
-En tressage croisé
-En encadrement (porte, fenêtre…)
-En soubassement ou sous les moulures
-Mixé avec du papier peint ou de la peinture pour former des motifs

 
Lâchez-vous !